La création de la voie verte a constitué un tremplin pour les déplacements doux notamment le vélo pour lequel je fais remonter mon commentaire puisqu’étant personnellement confronté au problème que constitue le franchissement de la D810 pour accéder à la zone des plages (Uhabia, Embruns) mais aussi à la piste cyclable qui mène jusqu’à la plage du village.

Mon message porte sur 2 aspects donc, le premier, de prévoir dans la réflexion du futur aménagement de l’estuaire de l’Uhabia, un franchissement sécurisé de la D810 afin de ne pas faire terminer la voie verte avant cet axe routier mais bien de la faire prolonger et la connecter avec  » l’autre côté du village », c’est à dire entre la mer et la D810. Je pense surtout aux enfants pour qui cette traversée est très dangereuse. Je sais qu’une passerelle existe sous le pont routier mais l’existence de nombreuses marches d’escaliers dissuadent les gens de l’emprunter à vélo. L’autre aspect qui se veut dans la continuité de cette réflexion porte sur la création de « parkings » ou d’emplacements dédiés pour garer les vélos pour les personnes qui veulent profiter de la plage et qui s’y rendent justement à vélo (empreinte écologique). Trop peu d’emplacements sont prévus actuellement, que ce soit au niveau de la plage de l’Uhabia ou des Embruns. Cette absence incite les gens à stationner leurs vélos où ils peuvent et parfois contre les barrières qui délimitent la plage au risque de les abîmer.

La création de la voie verte a permis de dynamiser ces nouveaux modes de déplacements, encore faut-il aller jusqu’au bout de la démarche en permettant d’y accéder en toute sécurité et de pouvoir y stationner (en réduisant la place faite aux véhicules thermiques ou en utilisant des espaces existants non utilisés).